Selon l’Union européenne, ils n’ont pas été induits en erreur par Microsoft au sujet de l’acquisition d’Activision Blizzard

Selon L'union Européenne, Ils N'ont Pas été Induits En Erreur

La fin 2022 atteint le sommet en termes de litige entre Microsoft et Sony sur le rachat de ZeniMax par le premier. Alors que Microsoft entend saisir la justice après le rejet de l’opération par les Etats-Unis, de l’Union européenne ils assurent ne pas avoir été trompés par la firme de Cupertino pour s’assurer ainsi l’acceptation de l’opération.

Selon l'Union européenne, ils n'ont pas été induits en erreur par Microsoft au sujet de l'acquisition d'Activision Blizzard

Microsoft a-t-il donné des informations différentes d’un côté de l’Atlantique et de l’autre ?

La Commission européenne, dont on vient de dire des Etats-Unis que Microsoft ne lui a pas dit toute la vérité pour obtenir ainsi son aval concernant l’acquisition de ZeniMax, s’est prononcée en la matière pour tenter de calmer les eaux et dissiper les soupçons.

Ainsi, si les accusations des États-Unis impliquaient que la tromperie de Microsoft était une bonne raison de remettre en cause l’acquisition, l’UE, par e-mail, révèle que Microsoft ne s’est pas engagé auprès des régulateurs à ne pas diffuser de contenu exclusif de Xbox suite à l’acquisition de ZeniMax Media. .

« La commission a autorisé la transaction Microsoft/ZeniMax sans condition, car elle a conclu que la transaction ne soulèverait pas de problèmes de concurrence (et cela) n’était basé sur aucune déclaration faite par Microsoft concernant la future stratégie de distribution des jeux ZeniMax »

Comme prévu lorsqu’elle a été éclaboussé par la polémique qui a surgi ces derniers jours, la commission a ouvert une enquête sur l’accord Activision Blizzard pour clarifier tout doute ou ombre à ce sujet.

L’agence de l’Union européenne réaffirme sa décision de ne pas entraver l’acquisition d’un million de dollars car elle a découvert que, même si Microsoft restreignait l’accès aux titres ZeniMax à d’autres sociétés (lire Sony) (c’est-à-dire avec Call of Duty en tête), il y aurait n’aurait toujours pas d’impact significatif sur la concurrence car la concurrence aurait toujours accès au contenu en question. Le fameux accord de 10 ans sur Call of Duty, finalement rejeté par Sony, viendrait appuyer cette affirmation.

Comme vous pouvez le voir, les choses sont loin d’être réglées, et les mains tendues font maintenant des poings. Nous espérons que tout se concrétisera, même s’il semble que, quoi qu’il arrive, un précédent sera créé, un avant et un après dans l’industrie.

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